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Les bâillon comme les cups menstruelles peuvent créer un indice du estocade narcotique car elle impliquent toutes deux la inertie du hémoglobine sur les parois vaginales. Cela peut alors permettre la prolifération de bactéries et créer un fêlure remède. Il y a dans la zone une vingtaine de cas par an, en France. Dans les protections traditionnelles, se trouvent beaucoup de choses qui ne sont pas idéales pour notre corps : du plastique, des dioxines qui peuvent être des perturbateurs endocriniens, à ceci on peut apporter glyphosates, phthalates, désherbant, viscose, fragrances et j’en passe et des meilleures.
Les housses hygiéniques sont en prospect régulier avec nos muqueuses vaginale ou utérine. Ces muqueuses sont par définition extra vascularisées, constituées de cellules épithéliales et jouent un élément important de transmission à nos organes. Ainsi, elles captent et absorbent les bonnes molécules, mais également les mauvaises ! Les housses hygiéniques jetables contiennent plusieurs fond toxiques comme des défoliant ( glyphosate, phtalates ), des gelée polymères super passionnants, des agents blanchissants comme le cl, des perturbateurs endocriniens comme l’aluminium, des nanoparticules d’argent, et même des additifs de parfum ( selon l’ANSES ).
Petite bête en plastique, la menstruelle nommée aussi menstrual cup ou cup est une protection salubre qui, a l’inverse des serviette et bouchon, n’absorbe pas le sérum, mais le restreind à l’interne du sexe. Comment la plonger ? L’utiliser quotidiennement ? Quelle dimension choisir ? Mode d’emploi. La menstruelle n’est pas en toute sécurité ! Il ne faut pas la porter n’importe de quelle façon, le temps qu’on le désire, la nuit… Il y a des précautions prendre or une chasse de la DGCCRF publiée le 27 mai 2020 tend que beaucoup de marques n’informent plus ou moins leurs utilisatrices sur ce positionnement, mettant en péril leur santé et montant leur risque de ecchymose toxique.
Ces polémiques ont eu le demande de exciter peu à peu le nouveau mutité assortissant les règles, une rareté qui touche cependant proche de 50% de la population pour environ 38 ans de leur vie. La recherche progresse à la même vitesse, proposant ces dernières années prestations toutes plus novatrices les unes que les autres : la version de la nature du bouchon ( plus écologique, mais pas obligatoirement plus saine ), la redécouverte de la coupe menstruelle, les serviettes hygiéniques lavables… Et à présent, les culottes de règles.
Sous une physionomie d’une extrême présence d’esprit, cet ustensiles est à concevoir petite production dans le champ de l’hygiène féminine : la coupe menstruelle. Présentée comme la solution moderne pour gérer en toute tranquillité au temps des coutumes, cette ultime remporte l’adhésion d’un nombre croissant d’hommes. Et vous, seriez-vous prête à changer vos habitudes ? Appelée ‘ cup ‘ ou encore ‘ coupe menstruelle ‘, cet ustensiles en plastique médical est une couverture salubre qui s’utilise de la période de l’automne des coutumes féminines. Une alternative technologie et économique qui remplace les protections traditionnels comme les bouchon ou les cartable hygiéniques. En forme d’entonnoir de 40 à 60 millimètres suivant la marque, elle bénéficie d’une appendice qui de la déposer et la enlever plus confortablement.
Le premier dénomination concernant la cup est déposé par Leona Chalmers, une des pionnières dans le domaine des protections hygiéniques. Son but est d’améliorer les produits d’hygiène intime qui a pour destin aux femmes. Elle compose et commercialise la Tassette, qui ne rencontre pas le succès attendu. Il s’agit effectivement d’une protection en caoutchouc rigide et inconfortable. À l’époque, les filles sont également réticentes à le principe d’introduire quoi que ce soit quelconque dans leur vulve, et les couvercle sont eux aussi boudés. Les protections hygiéniques externes sont largement préférées. En 1959, Oreck rachète les royalties du bon de Leona Chalmers. Il réparation la Tassette sur le marché américain, mais celle-ci disparaît aussi en 1963. L’homme d’affaires ne s’avoue pas couronné et crée une coupe menstruelle jetable, la Tassaway, en 1970. La 1ere cup à rester vite sur le marché est la Keeper, en route pour le succès en 1987.
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