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Lancé en 2002, Friendster est au départ un site de rencontres, qui permet aux personnes à de découvrir d’amis de leurs amis. On peut y créer un profil, inclure des « mises à jour de statut » et apprendre son humeur. Un service de messenger permet également d’envoyer des messages à des « amis d’amis d’amis ». malheureusement, en 2003, le site connaît un pic de popularité auquel l’entreprise n’est absolument pas cuisinée. Les serveurs sont saturés, ce qui se répercute sur les personnes qui commencent à se connecter ailleurs. En 2003, Mark Zuckerberg lance Facemash, décrit comme étant la réponse de l’université de Harvard au réseau Hot or Not. « The Facebook » lui fait suite en 2004. Le site atteint le million d’utilisateurs inscrits cette même année, et abandonne l’article « the » pour devenir simplement « Facebook » en 2005, après l’achat du secteur « Facebook. com » pour la somme de 200 000 $. À la même ère, un raz-de-marée d’autres sites de réseaux sociaux déferle : LinkedIn fait son apparition, visant la communauté des entreprises. Naissent aussi des sites d’interaction de photos comme Photobucket et Flickr, le site en ligne social del. ici. ous axé sur le don de marque-pages Internet et la plateforme aujourd’hui omniprésente de réalisation de blogs WordPress.
la présence de ces nouveaux « influenceurs » dans la taille public s’explique simplement par la popularité des diffusions de téléréalité et par l’intérêt qu’ont monsieur et madame Tout-le-monde à poursuivre à effectuer les participants en dehors du petit écran, après leurs aventures. Ayant centralisé l’intérêt de dizaines et souvent de dizaines de dizaines de milliers de personnes sur leur profil en ligne, ces « nouvelles vedettes » peuvent ensuite utiliser leurs plateformes de social medias pour intervenir avec une large communauté. Au-delà de l’interaction organique, l’influenceur peut choisir de monétiser son nouveau pouvoir, soit son influence, auprès du public qui le suit en acceptant des collaborations rémunérées pour développer du contenu ou passer certains messages publicitaires. il existe bien sûr plusieurs types d’influenceurs, dont la pertinence change clairement selon de nombreux critères : leur métier d’origine, l’originalité dans la création de leur contenu, le ton et le rythme utilisés, la fréquence des publications, les catégories de conversation entretenue avec la communauté, la sélection des collaborations selon les applications, les valeurs et l’expertise de l’influenceur et de sa communauté, etc. Après les déboires de certains, c’est l’occasion de se questionner. Comment bien choisir ce qu’on consomme ? Pourquoi stimuler certains contenus ? Et surtout de choisir : à qui souhaitons-nous donner la parole sur nos plateformes sociales ? Qu’on les préfère ou non, les réseaux sociaux sont là pour de bon et le concept de l’influence aussi, alors participons-y positivement et activement pour en faire un lieu enrichissant, fun et bienveillant pour tous.
En pleine campagne présidentielle aux USA, il part à la « trouvée des le public » en selon un groupe de 600 électeurs du comté d’Erié dans l’Ohio. Durant cette enquête, il démontre que le vote n’est pas seulement un choix personnel mais qu’il existe des variables liées au… réseau social de l’individu. On découvre que les réseaux amicaux et les milieux familiaux sont globalement homogènes dans leurs choix vues. Pour la première fois sont évoqués les opinion précurseurs dans une théorie de l’influence interpersonnelle. Leurs caractéristiques seraient une forte sensibilisation aux médias et une capacité de reformulation des enjeux vues dans les négoces quotidiens. Ils ont donc un rôle d’intermédiaire, de facilitateur, de relais. Un pas est dès lors franchi dans l’étude des réseaux : la communication n’est pas unidirectionnelle et directe vers un récepteur passif, elle est à deux étages et se passe en deux temps, à travers des relais d’information ( the two-step flow of communication ). Puis dans Personal Influence publié en 1955, il en ressortira que les relations interpersonnelles sont supérieures aux réseaux dans les actes de décision. En somme, les théories de la seringue hypodermique et de médias ultra-puissants deviennent obsolètes. Les effets des médias sont indirects et limités par les possibilités d’évaluation des individus et leur réseau social.
l’intérêt pour les influenceurs numériques comme outil de communication et de vente pour les marques s’accroît de façon considérable au cours des dernières années. Il reste toutefois beaucoup à explorer pour mieux comprendre comment les influenceurs peuvent créer un lien de confiance avec leurs abonnés et ainsi façonner leurs perceptions et leurs manières. Cette étude touche donc à se faire une idée de la perception des abonnés d’Instagram afin de comprendre leur relation avec les influenceurs ainsi que le process d’influence qui en découle. ainsi, la théorie des emplois et des gratifications et le format « Stimulus – Organisme – Réponse » ont été lecteurs afin d’étudier le phénomène sous un angle plus analytique. En effet, cette recherche aide à la littérature scientifique en offrant un environnement complet qui démontre comment les actions des influenceurs permettent de combler certains besoins des clients et influencent ainsi l’intention d’achat des produits promotionnels et la loyauté envers cet influenceur. Les serp d’un échantillon de 159 répondants à un questionnaire administré en ligne démontrent plusieurs effets de médiation entre les variables. Pour l’intention d’achat des produits promotionnels, les relations sociales, d’information et l’identification personnelle médient entièrement sa relation avec le design visuel du compte de l’influenceur ainsi que la qualité informationnelle des produits promotionnels. la trouvaille de ces relations permettra aux professionnels du marketing de mieux comprendre le processus du consommateur pour adopter les conseils des influenceurs ainsi que les approches à privilégier pour enclencher cette activation.
Si vous utilisez les réseaux sociaux uniquement pour pousser de la publicité, de la promotion, des investissements de produits ou autres vous ne retirerez pas une grande efficacité des social medias. Cela paraît logique par rapport au base de base : converser avec sa communauté. Des publications centrées uniquement sur de la pub / promo vont désintéresser votre audience et vous éloigner d’elle. Cela n’empêche pas de promouvoir ses produits et son travail mais dans un contexte différent de la publicité, avec un angle informatif, d’échange. Pour faire de la publicité il existe des espaces dédiés comme Facebook ads ou Instagram ads. Ils aident à promouvoir ses produits et son savoir faire avec des annonces personnalisées et sponsorisées. Si vous comparez Instagram et Linkedin arriverez dans deux mondes différents. En effet Instagram a du trafic vaste, il est plutôt orienté B2C, il est basé sur l’image ( bien qu’il ne faille pas négliger le contenu ), tandis que Linkedin a une audience plus ciblée “professionnels”, il est orienté btob et nécessite des contenus plus textuels pour communiquer. Certains réseaux peuvent d’avoir des fonctions plutôt passives ou ciblées comme par exemple Twitter, souvent utilisé pour de l’information, Linkedin très orienté btob, Instagram sur lequel on va souvent suivre des marques, Pinterest pour rechercher des graphiques ou de , Youtube pour des films et de la vidéo, etc.
Certains nouveaux formats, comme les REELS sur Instagram, ont été ajoutés pour concurrencer TikTok et donnent la possibilité de concevoir un contenu viral. Attention, pour que votre contenu devienne viral ou qu’il ait simplement une bonne portée organique, il faut qu’il soit de qualité. Ce qui est très important quand vous investissez du revenu publicitaire dans la gestion de vos social medias, c’est de pouvoir mesurer votre retour sur investissement. N’hésitez pas à prendre le temps de paramétrer correctement le suivi des conversions afin d’être en mesure de savoir exactement combien vous a rapporté la publicité. Vous n’avez pas le temps de poster sur les social medias de façon régulière. Les plateformes sociales ( et vos abonnés ) aiment suivre des comptes dont les contenus sont actualisé souvent. il est important de donc choisir une fréquence ( comprise entre 1 fois par semaine et 3 fois journalier selon votre secteur d’activité et l’attrait de votre marque ) et s’y tenir. Si vous publiez tous les jours pendant un mois, que vous arrêtez pendant 2 mois etc. Cela fera plus de mal que de bien à votre marque. Vous n’êtes pas en mesure de fournir du contenu de qualité. Si votre contenu est un contenu de basse qualité, je vous recommande fortement de ne rien poster et de donner le job à un professionnel qui connait les codes des différents réseaux et qui pourra produire du contenu qui va attirer les internautes. Voici quelques exemples de contenu de basse qualité.
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